Pour la démarche-psy Us, comme je l'avais entrevu, l'axe principal reste, pour dire les choses clairement : "nos mentons, il est normal de mentir, tout le monde ment, vous vouez bien qu'ils mentent", ce qui place la dernière phase de ce syllogisme comme une double-orwell-négation.
Le public est laissé pour compte spirituellement et philosophiquement afin que les dominants se gardent les procédures efficaces.
L'ontologie est au cœur du secret de fabrication d'une action qui peut s'accomplir, par opposition à une action inévitablement vouée à rebondir de façon négative.
La réaction négative de toute action commise...
Mais cette unité de mesure est incorrecte pour les autres trucs où l'entropie existe, et elle existe partout.
Pour le scientifique, avoir une vue d'ensemble devrait être le premier objectif de sa vocation. Au lieu de cela ils s'obstinent dans des tous petits recoins de la réalité.
L'ensemble de mes connaissances, acquis, ma compréhension, mes rêves et mes buts, tout cela devrait à nouveau mettre quarante ans avant de réapparaître chez quelqu'un.
Dans le meilleur des cas, on reprenant les bouquins, en apprenant à faire marcher les ordis qui restent, et en remettant en marche toute une infrastructure dont on doit découvrir les fonctionnements, il faudrait bien quarante ans pour que l'évolution reparte de là où on l'aura laissée.
À ma stupéfaction, le sens de ce que je lisais n'avait pas grand chose à voir avec ce que j'avais entendu. Je suis sûr que la transcription écrite est plus fidèle à la pensée, alors que l'écoute orale est très défaillante.
L'avantage d'être sur une petite chaloupe qui peut prendre des virages rapides - de développer un logiciel en solo, avec un outillage fabriqué sur-mesure - c'est de pouvoir se lancer dans de grandes aventures.
La maintenance faite de fixs et de petites rectifications, permet d'ausculter des parties anciennes du logiciel, et c'est là qu'on accumule les griefs : code trop ancien usage, abusif des sessions, sophistication devenue encombrante, etc.
C'est la carte qu'a décidé de jouer le bloc eurasiatique.
L'occident, dans son ensemble de pays et son histoire récente, a, avec constance, failli à ses devoirs moraux et montré qu'il n'était pas digne de confiance, ni en parole ni en actes. On ne peut rien en attendre.
L'occident devient le symbole de l'échec de l'esprit...
C'est la carte qu'a décidé de jouer le bloc eurasiatique.
L'occident, dans son ensemble de pays et son histoire récente, a, avec constance, failli à ses devoirs moraux et montré qu'il n'était pas digne de confiance, ni en parole ni en actes. On ne peut rien en attendre.
L'occident devient le symbole de l'échec de l'esprit...